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Après celui de Douai, un 2ème accélérateur rev3 a vu le jour en Hauts-de-France. Il est accueilli par la Communauté Urbaine d’Arras, un territoire lui-même exemplaire dans le domaine de la transition énergétique et numérique. 12 résidents y ont profité pendant 3 mois du programme « jeunes pousses ».

Les avantages de l’accélérateur rev3 Arras

Au sein de l’accélérateur rev3 Arras, les 12 résidents bénéficient d’un environnement de premier choix car la Communauté Urbaine d’Arras figure parmi les membres fondateurs de la Troisième révolution industrielle. Elle s’est par ailleurs déjà appliquée à elle-même les objectifs de la démarche rev3 en les intégrant dans l’ensemble de ses documents de référence et schémas de développement. Avec la volonté également de créer de nombreuses synergies avec les acteurs publics et privés, implantés dans et au-delà de son périmètre.

La Communauté urbaine d’Arras, dynamique, connectée et innovante

Idéalement située à équidistance de trois grandes capitales européennes, à 50 minutes de Paris, à moins de 2h de Londres ou de Bruxelles, à proximité de Lille…l’agglomération bénéficie d’une situation stratégique privilégiée, au cœur du bassin de population le plus riche d’Europe (100 millions de consommateurs dans un rayon de 300km).

Arras est à proximité immédiate des trois autoroutes majeures (A1, A2, A26), elle est également la plaque tournante régionale du réseau TGV au Nord de Paris, desservant Lens, Dunkerque, Cambrai, Douai et Valenciennes en assurant la liaison avec paris et Lille.

Proche des grandes métropoles, Arras cultive pour autant un mode de développement original.

Dotée d’un environnement naturel et paysager remarquable, héritière de 2000 ans d’histoire où les arts et l’économie se confondent en permanence, capitale tertiaire du Pas-de-Calais, l’agglomération arrageoise poursuit son histoire singulière en misant sur des secteurs qui participent essentiellement au développement de l’art de vivre : agriculture, transformation alimentaire, logistique, nutrition, santé, construction résidentielle, production culturelle et artistique, culture, loisir…

Territoire d’applications concrètes de rev3

La taille du territoire arrageois est idéale pour stimuler la co-construction et la mise en œuvre de projets de transition énergétique innovants. La proximité géographique des acteurs (entreprises, collectivités territoriales, associations…) permet une grande agilité lorsqu’il s’agit d’engager de nouvelles actions et réalisations. À noter parmi celles-ci :

La création d’un réseau de chaleur communautaire (et la mise en place d’une chaufferie bois en capacité d’alimenter de nombreux immeubles, des espaces scolaires, le centre hospitalier d’Arras, des administrations…

L’expérimentation de techniques innovantes à la Citadelle d’Arras. Dans l’enceinte de cet ancien site militaire, l’entreprise Décima a installé un Datacenter dans une ancienne poudrière. Refroidi par géothermie, celui-ci affiche une réduction de consommation annuelle d’électricité de l’ordre de 457 000 KWh. Dans un atelier voisin, la Start Up Unéole vient de mettre au point un prototype d’éolienne urbaine de petite taille et silencieuse.

L’installation à Aquaréna (centre aqua-ludique) d’un système de chauffage à partir de calories d’eaux usées stockées dans un bassin de 20.000 m³ situé à proximité. Réalisé par Eaux de l’Artois (groupe Veolia) pour le compte de la CUA, le procédé Energido vise à limiter fortement la consommation énergétique de ce centre aquatique de 4 000 m².

La mise en place par la CUA et Artis (Groupe Kéolis) d’un réseau de navettes de centre-ville, entièrement électriques et gratuites (quasiment une première en France !).

Le territoire a été retenu pour accueillir le Technocentre de la méthanisation suite à l’appel à candidature lancé par la Région

Un environnement immédiat propice au développement de la démarche rev3 : plus de 50 acteurs “rev3 compatibles” dans un rayon de 5 kilomètres

Le territoire dispose de l’ensemble du panel représentatif de la “diversité” d’acteurs : 3 parcs d’activités de forte densité (tournées essentiellement vers l’agroalimentaire, la mécanique et la logistique), des laboratoires de recherche appliquée, des filières d’enseignement … Parmi lesquels on compte de nombreux opérateurs impliqués dans rev3 ou susceptibles de l’être à très court terme.

Environnement économique :

L’économie arrageoise est particulièrement dynamique. La création de nouveaux parcs d’activités (Actiparc, Artoipole 2, Les Meuniers), les efforts de la CUA pour parfaire le cadre et les conditions d’accueil des entreprises et leurs salariés ont largement participé au renouveau du territoire. De grands noms de l’industrie, de la logistique et du transport ont choisi le territoire (Haägen Dasz, Enersys, Advitam, Oldham, Orchestra, LFB, Transports Guidez…). L’agglomération bénéficie également d’un important secteur tertiaire avec de nombreux services administratifs, des banques et assurances.

Le territoire de la CUA compte 8200 établissements actifs (dont 356 industries et 2 500 artisans).

Des entreprises engagées :

■ De nombreux transporteurs prêts à migrer vers le biométhane.

■ Des clubs d’entreprises en lien avec transition énergétique et numérique : club TACTIC, club TRIAD.

■ Des solutions d’Economie circulaire : projet de filière de recyclage du polystyrène avec Fishcut ; projet de chaudière pour l’unité chimique de CECA à Feuchy, projet de récupération de chaleur fatale depuis l’usine Roll’Gom en Z-I Est, projet de production d’hydrogène pour alimenter les charriots de manutention des plateformes logistiques du parc Actiparc, en lien avec Veolia.

■ Capitale agroalimentaire, siège d’une grande coopérative et de la Chambre d’agriculture Nord-Pas-de-Calais, terre d’implantation de grandes unités agroalimentaires européennes ou mondialisées… l’agglomération d’Arras a toutes les cartes en main pour entraîner le monde agricole vers les mutations vertueuses de la Troisième révolution industrielle.

Des centres de recherche et de développement, et des bureaux d’étude :

Le territoire présente la particularité de disposer de laboratoires et d’unités de R&D tournés essentiellement vers les applications concrètes. S’inscrivant dans la recherche-action plutôt que dans la recherche fondamentale, ils testent, mettent en pratique et développent leurs innovations sur le terrain, la plupart du temps en organisant des synergies entre acteurs voisins :

■ l’Inra : le laboratoire d’analyses des sols d’Arras (unité de l’institut national de la recherche agronomique) dispose d’une plateforme d’ingénierie en chimie analytique pour l’agriculture et l’environnement, développée en collaboration avec l’unité de service et de recherche en analyses végétales de Bordeaux (ZI Est Arras).

■ Adrianor : Centre de ressources technologiques pour les entreprises agroalimentaires (situé à Tilloy-les-Mofflaines), Adrianor (Association pour le développement de la recherche appliquée aux industries agroalimentaires des régions du Nord). Compte de nombreux clients industriels dans les Hauts de France.

■ Le comité Nord Plants rassemble plus de 450 producteurs et une centaine de chercheurs. Cet organisme, qui prépare les pommes de terre du futur, dispose à la périphérie d’Arras depuis 2013 (outre sa station de Beaurains ouverte en 1992) d’un laboratoire de contrôle et d’un centre de recherche-développement sur un site de 27 hectares à Achicourt.

■ AES DANA. Ce bureau d’études accompagne les projets de traitement par méthanisation et valorisation du biogaz, depuis le pré-diagnostic jusqu’au suivi d’exploitation (Saint-Laurent-Blangy).

■ T’AIR Énergies. Hébergée dans un bâtiment du SMAV, cette start’up spécialisée dans les énergies renouvelables à partir de déchets, est en train de mettre au point des techniques de production et de stockage sécurisé d’hydrogène, à base de petits réservoirs. Elle travaille à une activité de production d’énergie à partir de paille de céréales (Pyrogazéification).

Des établissements d’enseignements :

■ Le lycée agro-environnemental de Tilloy-les-Mofflaines Il regroupe 3 sites de formation (ArrasTilloy, Saint-Omer et Radinghem) et propose une offre complète (formation initiale, apprentissage, formation continue pour adultes). Parmi ses atouts : une option écologie, agronomie, territoire et développement durable, une exploitation agricole et environnementale pédagogique, un espace d’étude de la gestion différenciée, 900 m2 de serres horticoles…

■ Couvrant toutes les formations des métiers du bâtiment, sur tous les niveaux : CAP; BAC PRO; BREVET PRO, TITRE PRO et BTS, le lycée Jacques le Caron permet d’accueillir tous les publics à la recherche d’une formation qualifiante et reconnue dans le monde professionnel. Ainsi, le lycée au travers de ses formations initiales, de son unité de formation des apprentis (UFA) ou par son centre permanent du Greta permet à chacun d’obtenir une formation ou un diplôme de référence. Le lycée est labellisé Campus des Métiers et des Qualifications du Bâtiment et des Systèmes Energétiques Intelligents 3.0. Des élèves du lycée ont réalisé un passage piéton 3D avec les services de la CUA, juste en face de leur établissement.

■ Le CESI. L’école d’ingénieurs d’Arras propose 4 Mastères (en alternance) labellisés par la conférence des grandes écoles (CGE) : management de la sécurité et des risques industriels ; management de la qualité, de la sécurité et de l’environnement ; responsable en amélioration continue et performance industrielle ; efficacité énergétique et environnementale. Le laboratoire de recherche du groupe CESI anticipe et accompagne les mutations technologiques des secteurs et des services liés à l’industrie et le BTP. Les résultats de cette recherche bénéficient aux formations dispensées partout en France par le groupe CESI dans ces domaines. Le laboratoire de recherche du CESI est organisé autour de deux thèmes scientifiques interdisciplinaires et deux domaines applicatifs. Les thèmes « Apprendre et Innover » et « Ingénierie et Outils Numériques » développent et croisent leurs recherches dans les deux domaines applicatifs de l’Industrie du Futur et de la Ville du Futur. Deux plateformes de recherche et de transfert viennent soutenir l’ensemble de ces travaux : la première, consacrée à l’usine du futur sur les campus CESI de Rouen et une plateforme de recherche dédiée au bâtiment du futur sur le campus CESI de Nanterre. Le site d’Arras quant à lui sera l’antenne de la chaire CISCO, dédié à la performance énergétique, à l’exploitation et la maintenance des bâtiments intelligents.

■ L’EPSI est une école informatique multi campus, présente à Arras, Bordeaux, Brest, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes et Paris. L’EPSI se positionne sur le segment des Ecoles d’ingénierie informatique post bac et sans prépa. Exigence, accompagnement dans l’effort, humanité et convivialité sont les forces de l’école informatique

■ L’Université d’Artois. Parmi les filières d’études qu’elle propose, une trentaine de formations ont un lien étroit avec la chimie verte, les biotechnologies, le génie électrique, les énergies renouvelables

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